Pour moi une des raisons majeures de pourquoi le harcèlement est si notoire c'est qu'il est très facile pour un·e élève de se retrouver isolé·e. Par example de mon vécu je suis assez sur que j'ai en gros jamais discuté avec des personnes avec qui j'étais en cours pendant facilement 3 ans dans le système classique. Par contre j'ai fait le Lycée Expérimental de Saint-Nazaire pendant 4 ans. Bah dès le début tu as discuté avec au minimum 5~6 personnes de ton groupe de base (25~30 élèves) que tu vas connaître pas loin d'entièrement en 3~6 mois, pareil pour les gens avec qui tu as pu faire cours parceque c'est en tables rondes. Ce qui fait que tu as pas un gouffre entre un·e camarade de classe (personne que tu connais en gros de vue) et un·e pote. Du coup le harcèlement ou les violences assez visibles existent pas parcequ'il y a une bonne chance que la moitié des gens autours soient en gros des potes. (Par contre je dis pas que le harcèlement peu pas exister, mais le coté préventif est là quoi)
@Haelwenn /элвэн/ :triskell: :shizukuCatGetDown: je me ressens que je suis la personne rejetée chaque fois je suis dans un groupe… :shizukuCatGetDown: “les violences visibles n’existent pas,” car c’est donc les violence invisibles :shizukuCatGetDown: je me souviens que autrefois le groupe a devenu des ami.e.s, excepté moi. :shizukuCatGetDown:
D'ailleurs cette histoire de petits groupes formels qui servent de suivis & entraide. Ça me rappelle que le système classique ne fait pas en sorte que les élèves ne soient pas largués, illes ont juste des mauvaises notes (les évaluations étant de tout façon au dernier moment) et c'est tout. Tout soucis de compréhension des cours (qui sont forcément en mode magistral) entraîne des lacunes jusqu'à potentiellement un autre essai l'année suivante si c'est rabaché. 🙃️