Il y a quelques mois, nous montrions comment les services des renseignement et la justice ont transformé les pratiques numériques des inculpé·es en « preuves » d’une soi-disant « clandestinité » trahissant l’existence d’un projet terroriste. https://www.laquadrature.net/2023/06/05/affaire-du-8-decembre-le-chiffrement-des-communications-assimile-a-un-comportement-terroriste/